Mon arrivée à Bangalore a peu en commun avec ma première visite en Inde en 2007: J'atterris dans un aéroport ultra-moderne (forcément, il a été ouvert il y a juste 2 ans), propre, clair, qui offre des services professionnels et bien organisés. Finie la foire d'empoigne avec des chauffeurs de taxi et autres raccoleurs de tous poils dès l'entrée dans le hall des arrivées; place à des employés serviables qui parlent un anglais parfait, donnant une estimation correcte du prix de la course, de sa durée et de la distance et même les tarifs du ticket de bus pour comparaison. Une fois dans le taxi, on n'est pas au bout de sa surprise: il y a des ceintures de sécurité, on roule sur une route plane, éclairée et correctement signalisée. Et puis il y a autre chose qui colle pas... Il y a des bandes de circulation dessinées sur le sol, les voitures (tiens oui, il n'y a pas cette composition hétéroclite de motos, vélos, rickshaws, charrette à bœufs etc.) respectent même lesdites bandes.
Et oui!!! Voilà ce qui ne va pas du tout: Je n'ai pas entendu le son d'un klaxon pendant 5 bonnes minutes! Que se passe-t-il? Ah là là! Les traditions se perdent!
A propos de traditions, et pour ne pas les brusquer plus que de raison, on a décidé de scinder notre petit groupe de voyage en deux parties: les plus indiennes d'entre-nous (Shikha, sa sœur et sa nièce) ont terminé le voyage à la maison familiale, pendant que ceux qui sont moins indiens (moi) finissent à l'hôtel. Ce qui tombe bien, ça leur permet de se raconter des tas de retrouvailles en bengali, et ça me permet de retrouver une douche, un lit, une piscine, un bar à cocktail et par-dessus tout: Internet!
Monday, May 17, 2010
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