Saturday, April 24, 2010

Di. 30 Mar - nach Tschechien

Depuis 6 mois que je vais régulièrement en Tchéquie, j'expérimente tous les moyens pour y arriver: par vol direct, en avion via Vienne, en avion via San Francisco (pas le plus rapide!), en train, en retard (souvent couplé avec le précédent),... Je n'avais jusque là pas essayé les moyens de transports individuels (la voiture, le vélo, l'âne) et c'est maintenant chose faite.

J'avais trouvé un collègue pour covoiturer, qui m'avait garanti un voyage rapide (6h, bien moins que le train) et économique. L'avantage, donc, de la voiture sur les moyens de transport collectifs, c'est qu'elle s'arrête exactement là où il doit aller (le collègue), c'est-à-dire à moins de 300 kms et 5h de navettes en tous genres de ma propre destination: La Tchéquie est finalement un pays étonnamment grand.
Au terme d'un trajet en voiture somme toute assez reposant où l'on roule à tombeau ouvert sur les autoroutes suisses (80km/h!) puis allemandes (200), on arrive vers 2h du matin sur un parking désert de la banlieue de Prague. Ici, nos routes se séparent: lui doit prendre l'ascenseur sur 4 étages pour atteindre son lit, moi je rejoins le mien en bus, en tram, encore en tram, ennuyé, en train, endormi,... à 8h du matin, un voyage de tout repos!

Je devais peut-être y voir un signe... Pendant mes longues attentes nocturnes dans les abri-bus, gare et autres, j'ai vaguement perçu que Dieu voulait me dire quelque chose, m'envoyait un signe.
Je ne l'ai appris qu'à mon retour: le signe que Dieu m'a envoyé quand c'était mon tour derrière le volant, et que je n'avais pas vu du tout, c'est un gros "60" dans un cercle rouge sur l'autoroute en Suisse.
Et que les messagers de Dieu (en bleu avec des casquettes) se sont empressés de me rappeler par courrier express, avec douloureuse note de frais jointe.



Ok, c'est bon, promis, la prochaine fois, je prendrai l'avion, pour rester plus près de Toi.

Friday, April 23, 2010

Ven. 23 Avril - Et Paf! La Belgique

Aïe aïe, je sens le coup fourré...

Entre d'un côté, des sales rumeurs sur le maintien de Google en Suisse (suite à la décision déplorable du parlement suisse de réduire le nombre de permis de travail octroyés), et les nouvelles joyeuses du pays, où le gouvernement vient de nous rejouer son numéro favori: chuter, je me demande si je serai expulsé avant de devenir apatride, ou l'inverse?